L'Homme qui délaisse la quête du savoir religieux est coupable d'un crime contre sa propre personne, il est à l'image de la feuille qui virvolte au gré des vents, ne sachant où prendre racine...



* Mohammed Dans Les Ecritures Anciennes _____________

L’ Evocation De Mohammed  Dans Les Ecritures Anciennes




Il peut paraître étrange, à première vue, de lire que le prophète Mohammed ait été mentionné dans diverses saintes écritures bien qu'en réalité, cela ne soit pas dénué de sens comme nous allons très clairement l’exposer dans les lignes qui vont suivre...

1. Mohammed dans la Bible :
Au chapitre 05 du « Cantique des Cantiques » (de Salomon), une femme fait une description et à la fin du chapitre, nous pouvons lire en toute lettre le nom de Mohammed.
חִכּוֹ, מַמְתַקִּים, וְכֻלּוֹ, מַחֲמַדִּים; זֶה דוֹדִי וְזֶה רֵעִי, בְּנוֹת יְרוּשָׁלִָ
« Hiko mamtakim vé khulo Mahamad im , zé dodi vé zé réi , bnot yarushalaim »
Le suffixe « im » est un pluriel de respect, de majesté et de grandeur dans la langue hébraïque, tel que celui d'élohim[1].Cette utilisation du pluriel de respect est d’ailleurs très usitée dans certaines langues tel que l’Arabe ou même le Français.
D’ailleurs, en supprimant la particule « im », Il est remarquable de constater la translittération parfaite de l'arabe محمد  en  hébreu מחמד.
Malheureusement, Les traductions de ce passage que l’on pourra lire ci-après traduisent une volonté manifeste de dissimuler le nom de Mohammed en traduisant directement sa signification.
Cantique5.16
 « Son palais n'est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, Filles de Jérusalem! » [2]
Cantique5.16
 « Son palais est la douceur même ; et tout son être est l'objet même du désir.  Tel est mon chéri, tel est mon compagnon, filles de Jérusalem ! »[3]

Le même mot pourrait encore se traduire par «Celui Qui Est Loué» ou « celui qui est digne de louanges », autrement dit Mohammed lui-même puisque c'est le sens de son nom.
Un autre point mérite une attention toute particulière, les termes « Dodi » et « Rai » sont respectivement traduits par « Chéri » et « ami ». Or, ces termes pourraient également être traduits par « oncle » et « voisin » comme cela est le cas à 16 reprises dans la Bible pour « Dodi » et 102 reprises pour « Rai ».
- Ainsi, si nous traduisons correctement d'après ce qui précède, nous obtenons :
- « Tel est mon oncle, tel est mon voisin, Filles de Jérusalem! »
Cela fait désormais clairement référence à la descendance d'Ismaël.
- Le prophète qui doit venir d’Arabie :
Voici une prophétie majeure concernant Mohammed dans la Bible, celle de la prise de La  Mecque par dix milles compagnons :

« L'Éternel est venu de Sinaï, il s'est levé pour eux de Séir, il a resplendi de la montagne de Paran, et il est venu avec dix-mille saints du Sud [ou de sa main droite] est sortit une loi de feu pour eux. » [Deutéronome 33:2]
Les traditions Juive et Chrétienne veulent que ces trois endroits désignent le Sinaï, en réalité ils désignent le Sinaï, la Palestine et l'Arabie et nous le démontrerons très simplement.
Tout d’abord, le mont Sinaï est le lieu ou Moïse reçut les tables de la Loi, et d'où il entendit Dieu lui parler.
Quant à Séir, il s’agit d’une montagne au nord de Juda, située dans la Palestine actuelle, près de l'ancienne Beth-Shemesh[4] selon le « Smith's Bible Dictionary » et  « The KJV Old Testament Hebrew Lexicon ». Non loin de Séir, se trouve Bethléem, lieu de naissance de Jésus, paix sur lui. Séir est donc situé dans la région où Jésus enseigna l'Évangile : la Palestine.
Paran ou « Faran » en arabe, est situé en Arabie, la Bible fait également référence au désert de Paran lorsqu’elle nous narre l’histoire d'Ismaël et de sa mère Hagar :
« Dieu fut avec l'enfant (Ismaël), qui grandit, habita dans le désert, et devint tireur d'arc. » Genèse 21.20

« Il habita dans le désert de Paran, et sa mère lui prit une femme du pays d'Égypte. » Genèse 21.21

Ismaël, l'ancêtre des Arabes grandit donc dans le désert de Paran, qui n’est autre que le désert d'Arabie et c’est de là même, que s’établira sa descendance.  
« et voici les noms des fils d'Ismaël, par leurs noms, selon leurs générations : Le premier-né d'Ismaël, Nebaïoth ; et Kédar, et Adbeël, et Mibsam, et Mishma et Duma , et Massa, Hadar , et Téma , Jetur , Naphish et Kedma » . Genèse 25.13
« Ce sont là les fils d'Ismaël, et ce sont là leurs noms, selon leurs
villages et leurs campements : douze princes de leurs tribus. »
Genèse 25.16  

Les douze fils d'Ismaël dont il est question sont les pères des Arabes, ils donnèrent leurs noms aux villages où ils résidaient et les Arabes ont continué à vivre dans ce même désert de Paran. Le Paran de la Bible désigne donc le désert d’Arabie, c'est le lieu de fixation d'Ismaël et de sa descendance.
Mais il est écrit que l'Éternel a resplendi du « Mont Paran » ou « Har Paran » en hébreu, c'est à dire d'un mont en Arabie dont il ne peut s’agir que du Mont Hira, où Mohammed  a reçut la première révélation de la part de l'ange Gabriel.
Il est à noter que le mot « Paran » seul, est cité à maintes reprises dans la Bible, mais seulement deux fois lorsqu’il est précédé du mot « Mont » pour donner « Mont Paran », et ce sont là des prophéties claires concernant la venue de Mohammed.
Le passage « L'Éternel est venu de Sinaï, il s'est levé pour eux de Séir, il a resplendi du Mont Paran » nous montre donc clairement trois régions distinctes le Sinaï, la Palestine et le Mont Hira d’Arabie, desquelles  trois prophètes ont reçu une révélation :
Moise reçut la Thora au Sinaï, Jésus reçut l’Evangile en Palestine et enfin, Mohammed hérita du Coran en Arabie.
L'autre prophétie concerne « Le Saint » qui devait venir avec 10 000 saints : « il est venu avec dix-mille saints ».
Ce qui est traduit par dix-mille saints en hébreu est רִבְבֹת קֹדֶש rivévot kodesh. Dans le verset, kodesh signifie homme saint, la traduction de rivévot kodesh est donc dix-mille saints.

 « C'est aussi pour eux qu'Énoch, le septième depuis Adam, a prophétisé en ces termes : Voici, le Seigneur est venu avec dix-mille saints » Jude 1.14

« Pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre lui des pécheurs impies » Jude 1.15

Le mot grec employé est μυριασιν « murias », ce qui signifie 10 000.  Murias est l'étymologie de myriade, c'est l'équivalent grec de révivot en hébreu.

Encore une fois, nous retrouvons dans la Bible une référence à « dix-mille saints », et là, l'auteur du livre de Jude nous confirme qu’il s’agit d’une prophétie d'Énoch, ayant vécut des millénaires avant J-C.
Énoch a donc annoncé que dix-mille saints de Dieu viendraient exercer un jugement, contre des impies, des incroyants.

Si Jude cite cette prophétie alors qu’il vécut bien avant Jésus, c'est que de son temps, elle ne s'était toujours pas réalisée, alors que dire du temps d'Énoch ou de Moïse…

Du premier au dernier livre de la Bible, la prophétie des dix-mille saints resta en suspend, et personne ne l'a accomplit.
Historiquement, ces prophéties ne peuvent s'appliquer qu'à Mohammed qui conquit la Mecque avec très précisément 10 000 Compagnons.

Il n'est pas étonnant qu'un événement aussi important que la libération de La Mecque, fasse l’objet de prédiction dans la Thora, mais aussi dans les écritures hindoues, car cet épisode marque les prémices du rayonnement et de l’expansion de l'Islam à travers le monde.

- Mohammed dans le Pentateuque :

Dans les passages de la bible qui vont suivre, on retrouve une prophétie très importante du Pentateuque, concernant un personnage d’une importance capitale, dans le Deutéronome [18: 15-22].
15. « L'Éternel, ton Dieu, te suscitera du milieu de toi, d'entre tes frères, un prophète comme moi: vous l'écouterez ».
16. « C'est là tout ce que tu as demandé à l'Éternel, ton Dieu, à Horeb, le jour du rassemblement, quand tu disais: Que je ne continue pas à entendre la voix de l'Eternel, mon Dieu, et que ne voie plus ce grand feu, afin de ne pas mourir. »
17. L'Éternel me dit: ce qu'ils ont dit est bien.
18. « Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. »
19. «  Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en mon nom, c'est moi qui lui en demanderai compte ».
20. « Mais le prophète qui aura l'audace de dire en mon nom une parole que je ne lui aurai pas commandé de dire, ou qui parlera au nom d'autres dieux, ce prophète-là sera mis à mort. »
21. «  Peut-être diras-tu dans ton coeur: Comment reconnaîtrons-nous la parole que l'Éternel n'aura pas dite ? » 
22. « Quand le prophète parlera au nom de l'Éternel, et que sa parole ne se réalisera pas et n'arrivera pas, ce sera une parole que l'Éternel n'aura pas dite. C'est par audace que le prophète l'aura dite : Tu n'en auras pas peur ».
En analysant attentivement ces versets nous constaterons que le prophète dont il est question n’est pas Jésus comme le prétendent les Chrétiens. Les raisons de cette conviction pourront être synthétisées dans les constatations et remarques suivantes :
- Bien que Jésus fût parmi les Juifs et eût commencé sa mission, il ne fut pas reconnu comme étant le Prophète dont parle la prophétie précitée du Deutéronome. Les Juifs le distinguèrent du Prophète attendu. En effet, les sacrificateurs et les lévites, envoyés par les Juifs pour questionner Jean-Baptiste lui firent mention de trois personnages différents dont ils attendaient la venue soit le Christ, Elie et le Prophète mais il déclara n’être aucun d’eux :
 « Toi, qui es-tu ? Il confessa sans le nier, il confessa : Moi, je ne suis pas le Christ. Et ils lui demandèrent: Quoi donc? Es-tu Elie ? Et il dit: je ne le suis pas. Es-tu le Prophète ? Et il répondit : Non... Ceux qui avaient été envoyés étaient des pharisiens. Ils l'interrogèrent et lui dirent : Pourquoi donc baptises-tu, si tu n'es pas le Christ, ni Elie, ni le Prophète ? ... » [Jean, 1 : 19-25].
De ce texte, nous apprenons qu'il y a trois personnages dont les Juifs faisaient une nette distinction : « Le Christ » qui est Jésus ; « Elie » qui pourrait être Jean-Baptiste (Yahya) selon Jésus dans Matthieu, 11 : 7-15 ; et enfin « le Prophète attendu ».
 - Un autre verset vient corroborer cette affirmation :
« Des gens de la foule, après avoir entendu ces paroles, disaient : Celui-ci est vraiment le Prophète. D'autres disaient : Celui-ci est le Christ... » [Jean, 7 :40-41].
Le Prophète est donc un autre personnage, mis en parallèle avec le Christ et dont on attendait la venue au même titre que celle du Christ.
Reprenons à présent le verset suivant : « Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. »  [Deutéronome (18:18)].
Il est communément admis que la personne à qui s’adresse ce verset est Moïse, les divergences portent plutôt sur l’identité du prophète dont il est question et qui sera « comme toi », c’est à dire « comme Moïse »… 
Pour comprendre de qui il est question dans cette prophétie, il serait congru de scinder ce verset en trois parties :
a) « un Prophète comme toi »
Pour les Chrétiens, pas de doute, il s’agit de Jésus car il est Juif et prophète tout comme l’était Moïse. Ce maigre constat n’est pas convainquant et pour cause, cette prophétie pourrait dès lors s’appliquer à tous les prophètes étant venus après Moise et qui étaient également Juifs tels que Salomon, Esaïe, Ezéchiel, Daniel, Osée, Joël, Malachie, Jean le Baptiste
Mais alors, pourquoi Jésus n’est-il donc pas comme Moïse dans le contexte du verset précité?
« Il ne s'est plus levé en Israël de prophète comme Moïse que l'Éternel connaissait face à face. Nul ne peut lui être comparé pour tous les signes et les miracles que Dieu l'envoya faire au pays d'Égypte contre Pharaon... » [Deutéronome, 34 : 10-11].
1- Ce verset nous indique qu’aucune personne parmi les Israélites ne saurait susciter l'idée d'être plus grande que Moïse. Jésus est un Israélite et personne ne peut prétendre parmi eux qu’apparaîtra un prophète plus grand que Moïse sans être sévèrement démenti.

2- Selon les Chrétiens :

a- Jésus est un dieu ce qui n’est pas le cas de Moïse. 

b- Jésus est mort pour les péchés de l’humanité mais pas Moïse.

c- Jésus alla en enfer pendant trois jours mais pas Moïse.
d- D’autre part, Moïse et Mohammed sont tout deux nés d’un Père et d’une mère mais pas Jésus qui naquit miraculeusement d’un seul parent, sans père.
e- Moïse et Mohammed se marièrent et eurent des enfants mais Jésus resta célibataire toute sa vie.
f- Moïse et Mohammed ont été accepté comme prophète de leur vivant et avaient autorité sur leur peuple, mais pas Jésus dont le peuple Juif rejette encore son message.
g- Moïse et Mohammed ont imposé de nouvelles lois, les Dix Commandements et le Coran tandis que Jésus n’est pas venu avec de nouvelles lois selon la bible (Matthieu 5:17-18).
h- Moïse et Mohammed sont tous deux morts de mort naturelle contrairement à Jésus qui selon les Chrétiens est violement tué sur la croix.
i- Moïse et Mohammed sont tout deux restés enterrés, mais selon les Chrétiens, Jésus est au paradis.

Le Saint Coran évoque également un parallèle entre Moïse et Mohammed en ces termes :
« Oui, nous vous avons envoyé un Prophète (Mohammed) qui porte témoignage contre vous, comme nous avions envoyé un Prophète à Pharaon. »
« Nous avons donné la Loi à Moïse et à Aaron, comme une Lumière et un Rappel pour ceux qui craignent Dieu; pour ceux qui redoutent leur Seigneur bien qu'ils ne le voient pas et qui sont émus en pensant à l'Heure. Et ceci (le Coran) est un Rappel béni que nous avons fait descendre. Allez-vous donc le méconnaître ? » [Coran : S21 : 48-50].
A la lumière de ces quelques constatations, nous pouvons donc dire que Mohammed ressemble davantage à Moïse que Jésus et Allah est plus Savant.

b) « Du milieu de leur frères »
Les Juifs sont ici considérés comme une entité raciale et en tant que telle, et leurs frères seraient sans aucun doute les Arabes.
En effet, Abraham avait deux femmes, Sara et Hagar. Hagar donna un fils à Abraham, son premier né… « Et Abraham appela Ismaël le fils que Agar lui avait donné » (Genèse 16:15).
Treize années plus tard, Dieu donna à Abraham un second fils du nom d'Isaac, porté sur Sara, et qui était donc bien plus jeune qu'Ismaël.
Si Ismaël et Isaac sont les enfants d'un même père, Abraham, c'est qu'ils sont frères. Et donc, les enfants de l'un sont les Frères des enfants de l'autre. Les enfants d'Isaac étant les Juifs et les enfants d'Ismaël, les Arabes, ils sont donc Frères les uns des autres.
De plus, à cet endroit, la prophétie mentionne distinctement que le futur prophète, qui sera "comme Moïse" doit être issu, non pas d'entre les enfants d'Israël ou du milieu d'eux, mais il doit être issu "du milieu de leurs frères" : Mohammed était donc issu du milieu de leurs frères !
Par ailleurs, le contexte du verset indique que l'évocation de cette prophétie était adressée à tout Israël et que les douze tribus étaient toutes présentes à ce moment précis et c’est pourquoi il est irrecevable de prétendre que « leurs frères » désigne les tribus d’Israël ou l’une d’entre elles.
Il serait plus raisonnable d’affirmer, que l’expression précitée se rapporte aux Ismaélites, aux Arabes en d’autres termes.
Constatons de nouveaux comment certains Chrétiens traduisent les termes Bibliques avec un manque latent d’honnêteté :
« Il (Ismaël) sera comme un âne sauvage, sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui; il demeurera face à tous ses frères » [Genèse 16 : 12].
Le terme « Para » a été faussement traduit par « un âne sauvage » alors que sa traduction correcte est « nombreuse ». Ainsi, le verset fidèlement traduit nous informe que la postérité d’Ismaël sera nombreuse. Cette traduction est donc une insulte délibérée envers la personne pieuse et magnanime qu’est Ismaël.
 « Ismaël s'établit en face de tous ses frères» [Genèse 25 : 18].
A ceux qui prétendraient que cette prophétie concerne les Edomites, les frères des Israélites, nous leur répondrons par ce que dit la Genèse, 27: 1-40, Isaac a béni Jacob et a privé Esaü, qui sera le père des Edomites ; donc il n’est pas concevable que le Prophète attendu soit un descendant d'Esaü.

c) « Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que je lui commanderai » :
Cela implique de faire répéter à quelqu’un une chose dont il n’a pas connaissance et dont les mots ne sont pas imputé à celui qui les dits mais à quelqu’un d’autre.
Ce verset fait référence à la révélation Divine qui sera directement placée dans la bouche de son messager, or pour les Chrétiens, puisque Jésus est dieu, il ne devrait pas avoir besoin qu’on lui dicte des mots qu’il se contenterait de répéter puisqu’il devrait être le parfait commandeur.
Lorsque l’ange Gabriel vint à Mohammed pour lui transmettre les cinq premiers versets de la révélation, il lui ordonna dans sa langue : « Iqra » ce qui signifie lis, proclame, récite !

Voici les 5 premiers versets révélés à Mohammed (Coran : S96 V01-05) :
1. « Lis au nom de ton Seigneur qui a crée !
2. Il a crée l’homme d’une adhérence.
3. Lis ! Car ton Seigneur est Le Plus Généreux.
4. Qui a instruit l’homme au moyen du Qalam (de la plume).
5. Et Lui a enseigné ce qu’il ignore ».

Le prophète rétorqua qu’il ne savait pas lire puis, devant l’insistance de l’ange, il comprit qu’il lui fallut simplement répéter ce qu’il entendait...Il répète donc les paroles qui ont été mises dans sa bouche!

Dans le livre d'Esaïe, il est étonnant de lire au chapitre 29, verset 12 : « ou comme un livre que l’on donne à un homme qui ne sait pas lire » « en disant : lis donc cela ! Et qui répond je ne sais pas lire[5] ».
Au 6ème siècle de l’ère Chrétienne, il n’y avait pas de Bible en langue arabe et Mohammed ne sachant pas lire, ilne pouvait donc pas copier la Bible et encore moins d’une autre langue.
Le Coran nous donne la réponse à ce qui pourrait être vu comme un mystère aux yeux de certains dans les versets suivant (S53V1-5) :

1 Par l'étoile lorsqu'elle disparaît.

2 Votre compagnon (Mohammed) n'est pas dans l'erreur.

3. Il ne parle pas sous l’emprise de la passion (de son propre désir).
4. Mais c’est (effectivement) une révélation (qui lui a été) inspirée.
5. Le puissant, le fort (l’ange Gabriel) la lui a fait connaître. 

d) « Et si quelqu'un n'écoute pas Mes Paroles qu'il dira en Mon Nom, c'est Moi qui en demanderai compte.»

Noter que tous les chapitres du saint Coran[6] commencent par « Au nom de Dieu, Le Miséricordieux, Le Très Miséricordieux ». Ainsi, Mohammed parle au nom de Dieu comme l’évoque ce verset.
e) « Mais le prophète qui aura l'audace de dire en mon nom une parole que je ne lui aurai pas commandé de dire, ou qui parlera au nom d'autres dieux, ce prophète-là sera mis à mort. »
Si alors le Prophète Mohammed avait été Imposteur, il aurait du être tué comme le souligne ce verset ; mais Il ne l'a pas été ; par conséquent il n'était pas un imposteur, et c'est ce que confirme également le Coran : « S'il (Mohammed) nous avait attribué quelques paroles mensongères, nous l'aurions pris par la main droite, puis nous lui aurions tranché l'aorte, nul d'entre vous n'aurait été capable de s'y opposer. » [Coran : S 69 V44-47].
Dans un autre verset le Coran dit : « Ô Prophète ! Fais connaître ce qui t'a été révélé par ton Seigneur. Si tu ne le fais pas, tu n'auras pas fait connaître son message. Dieu te protégera des gens. » [ Coran : S05 V75].  
Cette promesse du Coran a été accomplie et personne n'a réussi à le tuer bien qu'il eût de nombreux ennemis. Cependant d’après les Chrétiens, Jésus aurait été tué sur la croix serait-il donc un imposteur ? Le coran résout ce dilemme de la manière la plus décisive qui soit : Jésus n’a pas été tué ni crucifié mais élevé au ciel ceci n’était qu’un leurre. Cela concilie le verset du Deutéronome avec celui du Coran et confère à Jésus un statut qui lui revient de droit, celui de noble prophète et serviteur d’Allah.
« Peut-être diras-tu dans ton coeur : Comment reconnaîtrons-nous la parole que l'Eternel n'aura pas dite ? Quand le prophète parlera au nom de l'Éternel, et que sa parole ne se réalisera pas et n'arrivera pas, ce sera une parole que l'Éternel n'aura pas dite. C'est par audace que le prophète l'aura dite : tu n'en auras pas peur. »
Dans ce verset, Dieu donne des indications pour distinguer le prophète véridique, celui ci prophétisera et ce qu’il dira se concrétisera ; dans le cas contraire, il ne s’agira donc pas de la parole du Seigneur des Mondes. Le prophète a fait beaucoup de prédictions qui se sont toute réalisées.
- Alliance de Dieu avec Abraham et sa descendance :
Dans la Genèse, 17: 1-14, 20, il est écrit:
« Lorsqu' Abraham fut âgé de 99 ans, l'Éternel lui dit: je suis le Dieu Tout Puissant... J'établirai mon alliance avec toi et ta descendance après toi, dans toutes leurs générations : ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je serai ton Dieu et celui de tes descendances après toi. Je te donnerai, et à tes descendants après toi, le pays dans lequel tu viens d'immigrer tous le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je serai leur Dieu. ».
 « A l'égard d'Ismaël, je t'ai entendu : je le bénirai, je le rendrai fécond et je le multiplierai à l'extrême; il engendrera douze princes, et je ferai de lui une grande nation. »[7] .
Ces versets montrent clairement que l'alliance a été établie avec Abraham et avec sa descendance. Cette alliance a été marquée par le signe de la circoncision. Obéissant à l'ordre Divin, Abraham appliqua la circoncision à tous ses mâles, le premier étant Ismaël.
Dieu fit à Abraham deux promesses, celle de lui donner le pays de Canaan ainsi qu’à sa descendance, et de bénir Ismaël.
« Dieu dit: Prends donc ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ... » 22 : 2
Ce texte indique que Dieu a ordonné à Abraham de prendre son fils unique ; or Isaac n'était pas le fils unique puisque Ismaël naquit avant lui. Il était l'aîné et il fut donc circoncis avant la naissance même d'Isaac[8].
Par conséquent, le nom d’Isaac a été rajouté pour faire croire que l'alliance concernait seulement Isaac et sa postérité mais la duperie ne rivalise pas avec la vérité historique.

2. Mohammed dans les manuscrits de la Mer Morte :
- Dans les manuscrits de la Mer Morte[9] il est écrit dans Esaie :
« Après le messie viendra un prophète arabe du pays de Paran, les juifs doivent le suivre, car c'est le prophète attendu, son signe est qu'il se sauvera de la mort et puis reviendra avec dix mille saints ».
Ceci est une prophétie claire de la venue du prophète Mohammed car il est arabe et aucun autre prophète arabe n’est apparu, mais il est aussi venu des montagnes de paran (la Mecque) et s’est sauvé de la mort que les mécréants de la Mecque lui promettaient. Enfin, il est bien revenu conquérir la Mecque avec très précisément 10 000 saints ou compagnons à ses cotés.

3. Mohammed  dans l’Evangile de Barnabé :

Barnabé est l'un des premiers à annoncer l'Evangile et se convertit très tôt. Il était originaire de Chypre et a accompagné Jésus-Christ depuis le début de sa mission, avant même qu'il ne choisisse ses douze apôtres. Son nom était Joseph, mais les Apôtres lui donneront celui de Barnabé qui signifie « fils d'encouragement » . (Actes 4:36)
Il fut l'un des premiers à vendre ses biens et à faire profiter l'Eglise naissante du montant de cette vente (Actes 4:37). Il se trouvait parmi les Apôtres dans le Cénacle lors de l'épisode de la Pentecôte.
C'est lui qui présentera Paul, après sa conversion, à Pierre et Jacques. Il travaillera un an avec Paul à Antioche où, dit-on, ses discours attiraient le peuple qui le considérait comme investi du Saint-Esprit. C'est à cette époque que les adeptes du Christ commencent à porter le nom de "Chrétiens". Paul et Barnabé sont alors désignés pour devenir les apôtres des Gentils.
La dernière image que l'on nous livre de Barnabé dans les textes choisis comme canonique, c'est qu'après s'être séparé de Paul, il partit en Chypre.
A ce propos, le Nouveau testament raconte la cause de leur séparation : «  Barnabé voulait emmener aussi Jean, surnommé Marc; alors que Paul jugea plus convenable de ne pas prendre avec eux celui qui les avait quittés depuis la Pamphylie, et qui ne les avait point accompagnés dans leur œuvre. Et Barnabé prenant Marc avec lui, s'embarqua pour l'île de Chypre » (Actes 15:36-39).
L’Evangile de Barnabé nous donne une tout autre version qui mérite une attention toute particulière, il s'agirait plutôt d'une divergence de dogme qui les opposaient dans la foi, Paul a commencé à prêcher une autre doctrine que celle que prêchait Barnabé, comme l’affirme ce dernier dans le premier chapitre de son évangile « .... prêchent une doctrine fort impie: ils appellent Jésus fils de Dieu, rejettent la circoncision, alliance de Dieu à jamais, et autorisent toute sorte d'aliments impurs. Parmi eux, Paul lui-même est dans l'erreur ».
Et aussi dans le dernier chapitre: «  d'autres, et parmi eux se trouve Paul, trompé lui aussi, prêchaient et prêchent encore maintenant que Jésus est le fils de Dieu. Quant à nous, nous prêchons à ceux qui craignent Dieu tout ce qu'il a écrit pour qu'ils soient sauvés au dernier jour du jugement de Dieu. Amen! »
- Histoire de la préservation de l’Evangile de Barnabé :
L'Evangile de Barnabé a été accepté comme Evangile Canonique dans les églises d'Alexandrie jusqu’en 325 G. C’est alors qu’eut lieu le Concile de Nicée, où a été décidé que tout les Evangiles originaux en manuscrit hébreu devaient être détruits. Il a été décrété que toute personne en possession d’un de ces Evangiles sera puni de mort.
En 383 G, le pape garda toutefois une copie de l’Evangile de Barnabé qu’il conserva dans sa bibliothèque.
Bien plus tard, en l’an 478 G ont été découverts les restes du corps de Barnabas et à ses cotés, une copie de l'Evangile écrit de sa propre main qu’il conserva auprès de lui[10]. D’ailleurs, la Bible célèbre de Vulgate semble être basée sur cet Evangile.
Le Pape Sixtus (1585-90) eut un ami du nom de Fra Marino qui trouva l'Evangile de Barnabas dans sa bibliothèque. Fra Marino avait lu les écrits d’Iranaeus (130-200) qui s’était appuyé sur l’Evangile de Barnabé pour s’opposer à Paul en son temps.
Le manuscrit Italien a par la suite traversé de nombreuses mains avant d’être en possession d’un certain Johann Friedrich Cramer, conseiller du roi de Prusse. En 1713, Cramer présenta ce manuscrit au connaisseur célèbre des livres, le prince Eugène de Savoie. C’est ainsi qu’en 1738, le précieux manuscrit pénétra à la bibliothèque Hofbibliothek de Vienne où il demeure toujours.

Quant au texte latin, il a été traduit en anglais par M. et Mme Ragg et édité par l'université d'Oxford. Cette traduction en anglais a mystérieusement disparue du marché. A ce jour, il n’existe plus que deux copies de cette traduction,  l’une au musée Britannique et l'autre dans la bibliothèque du congrès à Washington.

Après cette brève introduction, analysons de plus près certains passages de cet Evangile dont on désire ardemment en divulguer les secrets :
« Mais après moi viendra la splendeur de tous les Prophètes et saints; il éclairera les ténèbres de tout ce qu'ont dit les Prophètes, car il est le Messager de Dieu » Chap.18
« Maintenant que tous les Prophètes sont venus, sauf le Messager de Dieu qui viendra après moi, puisque Dieu veut que je prépare sa route » Chap.36
« Se dressant sur ses pieds, Adam vit, en l'air, une inscription brillante comme le soleil. Elle disait : « Il n'y a qu'un seul Dieu, et Mohammed est le Messager de Dieu » Alors Adam ouvrit la bouche et dit : « Je te rends grâces, Seigneur mon Dieu, d'avoir daigné me créer, mais dis-moi, je t'en prie, que signifient ces paroles : Mohammed Messager de Dieu ? » Y a-t-il eu d'autres hommes avant moi ? » Dieu répondit alors : « Sois le bienvenu, ô mon serviteur Adam! Je te le dis, tu es le premier homme que j'ai créé. Celui que tu as vu est ton fils qui se tiendra prêt pendant bien des années à venir au monde. Il sera mon Messager » Chap. 39
« Je suis une voix qui crie par toute la Judée. Elle crie : préparez la voie au Messager de Dieu, comme il est écrit dans Isaïe » Chap. 42
« Mais quand le Messager de Dieu viendra, Dieu lui donnera une sorte de sceau de sa main, si bien qu'il portera le salut et la miséricorde à toutes les nations du monde qui recevront sa doctrine. Il viendra avec puissance sur les impies et il détruira si bien l'idolâtrie que Satan sera confondu. C'est ce que Dieu promit à Abraham en disant : « Voici que je bénirai dans ta semence toutes les tribus de la terre. Et de même que tu as mis en pièces les idoles, Abraham, ainsi fera ta semence » Chap. 43
« Quand je l'ai vu, mon âme fut remplie de consolation et a dit : «Mohammed, que Dieu soit avec toi! Qu'il me rende digne de dénouer les lacets de tes chaussures, parce que, quand je l'aurai obtenu, je serai un grand Prophète et saint de Dieu! » Après ces paroles, Jésus rendit grâces à Dieu » Chap. 44
« Que votre cœur ne se trouble pas et ne s'effraie pas, car ce n'est pas moi qui vous ai créé. C'est Dieu, notre créateur qui vous a créés. Lui vous gardera. Quant à moi, je suis venu dans ce monde pour préparer la voie au Messager de Dieu qui portera le salut au monde » Chap. 72
« Il ne viendra pas de votre temps, mais bien des années après vous, quand mon Evangile sera si effacé qu'il ne restera plus qu'à peine trente fidèles. En ce temps-là, Dieu aura pitié du monde » Chap. 72
« Alors il enverra son Messager, sur la tête duquel se posera une nuée blanche. Aussi sera-t-il reconnu par un élu de Dieu et il sera manifesté par lui au monde » Chap. 72
« Et quand on verra l'idolâtrie tomber à terre et me reconnaître homme comme les autres hommes, je vous le dis en vérité, le Messager de Dieu sera venu » Chap. 72
« Mais quand Dieu m'enlèvera du monde, Satan suscitera de nouveau cette maudite sédition : il fera croire aux impies que je suis Dieu et fils de Dieu, et mes paroles et ma doctrine seront si contaminées qu'il restera à peine trente fidèles. Alors Dieu aura pitié du monde et il enverra son messager pour lequel il a tout fait. Il viendra du Midi avec puissance et il détruira les idoles avec les idolâtres, car il enlèvera à Satan l'empire qu'il a sur les hommes. Il apportera avec lui la miséricorde de Dieu pour le salut de ceux qui le croiront. Bienheureux qui croira à ses paroles!» Chap. 96
Jésus dit alors : «Vos paroles ne me consolent pas, car les ténèbres viendront d'où vous espérez la lumière. Ma consolation se trouve dans la venue du messager de Dieu qui détruira toute idée fausse en ce qui me concerne » Chap. 97
Le pontife reprit : «D'autres prophètes viendront-ils après le messager de Dieu ?» Jésus répondit : "Après lui, il ne viendra pas de vrais prophètes envoyés par Dieu, mais il viendra une quantité de faux prophètes, et cela me cause de la peine, car c'est Satan qui les suscitera par un juste jugement de Dieu et ils se couvriront du prétexte de mon Evangile » Chap. 97
« Alors les gens élevèrent la voix et dirent :"O Dieu, envoie-nous ton messager ! O Mohammed, viens vite pour le salut du monde ! » Chap. 97
« Mais quand viendra Mohammed, messager sacré de Dieu, cette infamie sera enlevée » Chap. 112
« Je vous le dis en vérité, si la vérité n'avait pas été effacée du livre de Moïse, Dieu n'aurait pas donné le second livre à David, notre père. Et si le livre de David n'avait pas été contaminé, Dieu ne m'aurait pas envoyé l'évangile, car le Seigneur notre Dieu est immuable et il a tenu un seul langage à tous les Hommes. C'est pourquoi, quand le messager de Dieu viendra, il purifiera tout ce que les impies auront contaminé dans mon livre » Chap. 124
Les disciples répondirent : «Maître, qui sera cet homme dont tu parles et qui viendra dans le monde ?» Jésus répondit dans la joie de son coeur : «C'est Mohammed, messager de Dieu! Sa venue dans le  monde porteuse d'abondante miséricorde, comme la pluie qui fait fructifier la terre quand il n'a pas plu depuis longtemps, sera cause de bonnes actions parmi les hommes. Car il est une nuée blanche, remplie de la miséricorde de Dieu, que Dieu répandra sur les fidèles comme la pluie » Chap. 163
Ces versets de par leur transparence, n’exigent aucun commentaire si ce n’est qu’ils invitent intensément à la réflexion…

4. Mohammed dans le Veda et les écritures Saintes Hindous :

Le dernier « Kalki Autar » (Messager) qui a été annoncé par le Véda, le livre Saint des Hindous, et que tous les Hindous attendent est en réalité le Prophète Mohammed Ibn Abdullah. C’est là la conclusion d’un livre récemment publié en Inde et qui a créé un ras de marée à travers tout le pays.
Pundit Vaid Parkash, l'auteur de cette importante recherche intitulée « Kalki Autar », est un Hindou Brahman de race Bengali très célèbre en Inde. Il est un scientifique de renom et un célèbre docteur Sanskrit.
Après de longues et assidues recherches, Pudit Vaid Parkash présenta le fruit de ses travaux à huit grands docteurs Pundits[11] qui sont reconnus dans toute l'Inde comme étant parmi les plus instruits aussi bien des chefs religieux Hindous que des chercheurs scientifiques du pays.
Après une analyse complète du livre de Parkash, ils ont à l'unanimité reconnu l'authenticité et la véracité des propos tenus par Parkash.

La conclusion de ces travaux est que les plus importantes écritures saintes de l'Inde mentionnent un Guide et Prophète du nom bien spécifique de « Kalki Autar » qui n’est autre que le Prophète Mohammed qui naquit à la Mecque. Ainsi, les Hindous non plus de raisons d’attendre leur messager puisqu’il était déjà venu il y a 1400 ans auparavant et que leur destin aurait été de se soumettre à l’Islam.
Pour prouver l'authenticité de ses recherches, le Professeur Parkash s'est basé sur le livre du Véda, qui est un livre Saint des Hindous.
Il est à présent judicieux de confronter ce que disent le Véda et les Ecritures Saintes d’Inde aux rapprochements établis par le professeur Parkash. Les prophéties tirés du Véda seront surlignés en gras pour les différencier des commentaires du professeur.

- « Kalki Autar sera le dernier Messager de Bhagwan ("Allah") et guidera toute l'humanité » :
Le professeur Parkash précise que cette référence tirée du Veda ne s'applique qu'au Prophète Mohammed qui a été envoyé à toute l'Humanité.
- « Kalki Autar sera né sur une île » :
Cette île est le territoire communément appelé « Jaziratoul ‘Arab ». 
- Le nom du Père du « Kalki Autar » est mentionné comme étant « Vishnu Bhagat », et celui de sa mère est mentionné comme étant « Somanib » :
Dans la langue Sanskrit des Hindous, « Vishnu » veut dire « Allah » et la signification littérale de « Bhagat » est « Esclave ».
« Vishnu Bhagat » veut donc dire « esclave d’Allah »  soit « ‘Abd Allah » en langue Arabe.
Quant à « Somanib », il signifie en Sanskrit « Paix et Tranquillité ». En Arabe, c’est le sens même du prénom « Amina ».
Il se trouve que le Père du Prophète Mohammed s'appelait ‘AbdAllah « Esclave d'Allah » et que sa sainte mère s'appelait Amina « Paix et Tranquilité ». 

- « Le "Kalki Autar" se nourrira d'olive et de dates et sera véridique, honnête et digne de confiance »
Cela n'est vrai et établi que dans le cas du Prophète Mohammed. En effet, un des noms donné au prophète  fut « Al Amine » qui signifie « Le Digne de Confiance »

- « Le "Kalki Autar" sera né dans une noble et respectée dynastie de son pays. »
Le Profeseur Parkash souligne que cela fut exactement le cas pour le Prophète Mohammed qui est né dans la très respectée tribu des Qorâysh, laquelle tribu occupait une noble place à la Mecque.

- « Bhagwan ("Allah") enverra Son Message ou "Kalki Autar" dans une cave et à travers un Messager. »
Ceci fut également vrai pour le Prophète Mohammed qui fut le seul à avoir reçu le Message Divin dans la grotte (cave, caverne…) d'Hira à travers l’Ange Gabriel, l’émissaire d’Allah.

- « Bhagwan ("Allah") donnera au "Kalki Autar" le plus rapide des chevaux grâce auquel il voyagera à travers le monde et à travers les Sept Cieux. » 
Le Prophète Mohammed reçut de la part d'Allah le « Buraq » qui lui permit de voyager de la Mecque à Jérusalem et de traverser les Sept Cieux lors du Mi’raj[12].

Les Livres Saints de l'Inde précisent également que « le "Kalki Autar" sera soutenu par Bhagwan ("Allah") Qui lui accordera une Aide Manifeste. »
Ce fut en effet le cas pour le Prophète Mohammed qui fut aidé et soutenu par Allah à travers Ses Anges lors de la célèbre Bataille de Badr.
« Le "Kalki Autar" sera un expert dans l'art du sabre, de l'arc, et de l'équitation. »
Pundit Vaid Parkash précise à cet effet que les Hindous devraient réfléchir sur cette importante prophétie : il écrit que l’âge des chevaux, du sabre, et de la lance est passé depuis longtemps et que l'âge actuel est celui des chars d'assauts et des missiles.

Par conséquent, ce serait un manque de sagesse que  d'attendre un nouveau « Kalki Autar» qui combattra avec des flèches et des lances. En fait, précise le Professeur Parkash, la prophétie du « Kalki Autar » qui est mentionnée dans tous les Livres Saints des Hindous, particulièrement dans le très respecté Véda, est une preuve irréfutable de la Prophétie du Prophète Mohammed qui reçut de la Part d'Allah le Livre Saint appelé « Quran Karîm ».

C’est ainsi que s’achève notre chapitre dédié à l’évocation de Mohammed à travers les écritures…


[1] Pluriel d'éloha
[2] Bible Louis Segond
[3] Bible TOB
[4] Ain Shems aujourd'hui
[5] Nouvelle Version Segond Révisée
[6] Excepté le chapitre 09
[7] Voir Genèse, 21 : 18
[8] Voir Genèse, 17 : 23
[9] De la grotte de Qumrân
[10] ACIA Sanctorum Boland Junii Tom II, pages 422 et 450. Anvers 1698
[11] Experts
[12] L’ascension à travers les Cieux.

RECITATIONS CORAN